Le dernier film d’Atom Egoyan est sorti le 21 décembre

Si l’on peut regretter la non-traduction quasi systématique des titres de films en anglais, force est de constater que le dernier Egoyan aurait pu être beaucoup mieux traduit. Where the truth lies est ainsi devenu La vérité nue, et c’est bien dommage. Adapté d’un roman de Rupert Holmes, le film raconte l’histoire de deux stars des années 50 impliqués dans la mort mystérieuse d’une femme, sur laquelle une journaliste mène l’enquête quinze ans plus tard.
Après les semi-échecs d’Ararat et du Voyage de Felicia, Atom Egoyan tente de retrouver l’inspiration d’Exotica et de De beaux lendemains qui en avaient fait le cinéaste le plus prometteur des années 90. Critique du film à venir dans les prochains jours.